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23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 20:00

Dans un salon de coiffure, un magazine m’a révélé que la probabilité qu’un homme séduise une femme augmentait très fortement avec le montant total de ses biens. « Une évidence statistique » concluait le paragraphe.

 

Dans mon billet daté du 13/12/13, le message me semblait être sans équivoque.

 

Aujourd’hui, un nouveau passage dans le salon de coiffure a été l’occasion de terminer l’article du magazine.

Mince d’autres paramètres existent…

Sauf si le montant total est vraiment colossal.

Curieusement, la beauté physique est considérée comme peu pertinente (le fait que je sois fraichement coiffé ne devrait avoir aucun impact significatif).

 

Pour Birgit, ancienne hôtesse de l’air dans la compagnie aérienne appartenant au vieil homme à ses côtés, le montant a dû être apprécié à sa juste valeur. Elle a même dû donner un de ses reins au monsieur sous la casquette avant de devenir sa femme ! Birgit est une finaude, l’homme sandwich pour le fond d’investissement Aabar d’Abu Dhabi ne pouvait rien lui refuser après avoir accepté son rein. Un échange équilibré.

 

Je me rends compte qu’il me reste du chemin à parcourir si je veux passer de mes JPG et mon rouleau de sopalin à Birgit.

 

Je vous laisse avec un groupe composé de deux jeunes adolescents vu en concert privé au Trianon il y a quelques semaines de cela (showcase privé de Will I Am).

 

 

A peine entrevu à vrai dire ! J’y ai rencontré là une magnifique et toujours jeune femme venue par curiosité pour les Mutines le duo précédant Carbon Airways. Les Mutines, révélés sur YouTube avec « California ». Un pote présent ce soir-là m'assure que ce serait la nouvelle sensation French Pop. Ben les Mutines, c’est pas « so sex ».

 

Pas très emballés par les Mutines, la sympathique encore jeune et pas très naturellement blonde émis l’idée que nous allions discuter hors de ce brouhaha. Des Carbon Airways, je n’ai vu qu’Eleonore s’approchant du micro avant de sortir.

 

 

Je l’ai emmenée au Rosie, un petit bar à l’esprit imaginé par Laura Léonard, où nous avons agréablement discuté des heures.

 

 

PS : bon j’ai quand même envie de vous aider à décrypter l’article, certains mots ne doivent pas être négligés.

Concert : je sors, à Paris, même en semaine (sous-entendu, je ne reste pas cloitré dans mon petit pavillon de banlieue, mon plateau repas sur les cuisses à baver devant TF1).

Privé : j’ai été invité. connaîtrais-je du VIP ?

Ok en vrai, j’ai gagné ma place. A défaut de connaître du VIP, j’ai de la chance.

Pote : contrairement à ce que ce blog voudrait vous laisser croire, j’ai pleins d’amis de partout (même si certains ont des goûts musicaux déraisonnables).

Femme : contrairement à ce que ce blog voudrait vous laisser croire, une femme pour moi, ce n’est pas qu’un fichier informatique au format JPG. Il m’arrive de discuter avec des femmes (hors caissières de Carrefour), de plaire à certaines et même de coucher.

je n’ai vu qu’ : Je n'étais venu que pour eux (j'avais prévu de me sauver avant de devoir subir Will I Am) et j'ai loupé Eleonore et Enguérand... sans aucune certitude d'avoir un petit showcase sexuel privé avec celle qui ne devrait pas devenir ma femme (i.e. je ne suis pas en couple avec elle, à vrai dire je suis célibataire et tout à fait disponible en ce moment). Je vous laisse conclure sur l'homme que je peux être. 

Le Rosie : Google est ton ami. Le message, je connais de bonnes adresses, ici un bar ouvert par Nicolas Ullmann. Je sais aussi les sélectionner, je n’aurais, par exemple, pas proposé d’aller au Blue situé dans la même rue.

Laura Leonard : Et en plus je m’intéresse à l’architecture d’intérieure.

Discuté des heures : j'ai de la conversation. Cela peut aller du tuning des 205 XR à l'optimisation de la pose de vernis à ongle. 

. : ce petit point n'est pas anodin. Je suis un homme qui sait garder certaines choses pour lui et rien que pour lui (et pourtant, tain... elle n'avait plus 20 ans, avait des racines bien brunes mais elle a su compenser la coquine). Le respect de l'autre, c'est important pour moi.

 

Si le journaliste du magazine ne s’est pas fourvoyé, dans l’hypothèse où le montant total n’est pas suffisant, un second paramètre à considérer est le degré de socialisation. Un homme avec des amis (mais pas trop quand même), avec des conquêtes féminines désirables (mais pas trop là aussi), qui connaît des gens, qui s’intéresse au monde qui l’entoure attirera plus qu’un solitaire mal rasé au regard rude.

 

J’espère vous avoir convaincues.

 

Voilà c’est tout.

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commentaires

M
Merci d'avoir pensé à tes lectrices qui ne dominent pas du tout l'art du décryptage :D<br /> A la lueur de ce que je découvre, je me dis qu'il faut sacrément que je revois ma com !
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C
Ahhhh mé voui alors que me voilà convaincue...<br /> Mais en même temps, pour être totalement honnête, le concept de loup solitaire mal rasé au regard rude allume des étoiles dans mes petits yeux rêveurs ;-)
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Z
Toi tu es en train de tomber amoureuse.<br /> C'est ainsi, il faut l'accepter.
B
Un homme qui maîtrise le vernis à ongle, ça m'épate direct ! Un homme qui a de la conversation, encore plus !
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Z
Maîtriser, le mot est un tantinet exagéré. Il me faudrait encore un peu d'entraînement. Peut-être pourrais-tu me prêter tes ongles l'espace d'un après-midi ou d'une soirée (peut-être d'une nuit).
C
Quel homme ! Tu mérites ta récente promotion professionnelle, et une promotion dans le cœur d'une femme.
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Z
Oui, déjà un petit contrat intérim, ce serait magnifique.
C
&quot;convaincuES&quot;, non ?
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Z
Absolument !<br /> Merci